Ahmed

Christiane ayant manqué le snorkling lors de notre passage à Ahmed, nous décidons de retourner sur la pointe "Aas". Sur le chemin, nous faisons un arrêt à Tulamben sur les recommandations du livre "Lonely Planet". Il y a un navire américain qui fut torpillé durant la guerre par un sous-marin japonais. Patrick va le premier à l'eau pour tester. Déception. La mer est trop dechainée et rien à voir du côté récifs et poissons. Il sort de l'eau au bout de seulement cinq minutes

Nous sommes donc retournés à Aas et avons fait du snorkling cette fois avec une vue du fond de l'eau magnifique. C'est le plus beau spectable que j'ai vu jusqu'à maintenant. Ensuite, nous avons mangé une soupe tout en discutant avec les gens de la place. Les gens ici sont "sweet" comme je leur dis souvent. De retour à notre lodge "Nusa Indah", nous plongeons dans la piscine avant de se préparer pour aller souper au Candi Agung où les jeunes serveuses nous connaissent et prennent plaisir à nous parler en anglais et en balinais. Nous avons droit également à un spectacle de 2 danses traditionnelles.

En soirée, à notre endroit internet, j'ai acheté le seul livre en francais dans la bibliothèque pour 20 000 roupias (2$). Un livre de Stephen King intitulé "La petite fille qui aimait Tom Gordon".

17 mars - fête de Patrick:
C'est nous-mêmes qui avons fait notre petit déjeuner ce matin, histoire d'avoir un goût de chez-nous. Il faut dire que Wayan, le maître d'hôtel, avait fait le nécessaire pour nous procurer ce dont on avait besoin pour la recette de pain doré. À la fin du déjeuner, il a goûté à notre pain doré. Il a aimé comme il a aimé aussi nos crèpes d'avant hier et il a pris la recette. Après le déjeuner, il nous a demandé d'être présents à 12h00. Oh! je me doutais bien qu'il avait préparé une petite surprise pour la fête de Patrick..
12H00: Wayan nous attendait avec Ketut sur la terrasse servant de salle à dîner tout entourée de palmiers et de fleurs odorantes, un gâteau (genre forest noire) et 4 cappucinos dressés sur la table. Contrairement à leurs coutumes, ils ont mangé avec nous dans une ambiance de langage et de paix universels.